Associação Artística e Cultural Mindelact

Un magnifique spectacle avec l'un des styles de danse les plus appréciés au monde, le magique Flamenco ! Incontournable !Partenariat Ambassade d'Espagne au Cap-Vert & Camões CCP Praia

Figurant dans ce qui serait la plus grosse production du spectacle HAMLET jamais joué dans sa ville, mécontent de l'ANNULATION de la pièce à laquelle il rêvait de participer, décide de construire sa propre adaptation de cette production grandiose qui n'a pas eu lieu, en utilisant des fragments de textes à cet effet, des originaux, des extraits de la proposition du metteur en scène, des morceaux de décors en cours de construction et des morceaux de costumes en cours de confection, dans l'espoir de pouvoir apporter au public une adaptation de cette conception audacieuse de mise en scène, offrant leur petite version de la plus grande œuvre théâtrale jamais écrite.

La prémisse centrale du spectacle est l'idée que deux hommes se rencontrent à Amílcar Cabral - l'un que nous appelons "Cabral" et l'autre que nous appelons "Amílcar". Cabral est l'homme qui a systématiquement et scientifiquement réalisé un plan magistral pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert. Amílcar est l'homme terrestre, qui est tombé amoureux d'une femme transmontana, qui a étudié le génie agricole, qui a fait face à la pauvreté au Cap-Vert, au Portugal et en Guinée, qui aimait jouer au football et parler.

Après avoir quitté son pays détruit, Señor Dolores prend la route au milieu de vents violents et de tempêtes. Il ne cherche pas une maison ou un logement, il passe : flèche droite dans la direction souhaitée. Là où le risque et l'insécurité, il trouve nourriture et repos. Un chemin de perte et d'échec, de courage, de force et de fantaisie. Face à face avec le danger : Señor Dolores passe à autre chose, vit et rêve.

Le projet Nha Identidade est né lors de la formation à l'INAC – Institut National des Arts du Cirque. Dès le début du projet, il y avait une intention claire de parler de mes racines : le Cap-Vert, l'Afrique. Au cours du processus, cependant, j'ai été bombardé d'informations sur les crimes de haine, le racisme et la xénophobie, et j'ai ressenti le besoin d'apporter un parti pris politique à l'œuvre, comme moyen d'exprimer un cri de protestation contre toutes les formes d'oppression. L'intention de ce travail n'est pas du tout d'assumer une position agressive ou hostile, au contraire, c'est de promouvoir une réflexion qui sensibilise le public et favorise les changements d'attitudes dans la société.

« Il me vient à l'esprit de questionner mon identité, le sens de mes origines et toutes les influences qui me constituent ; et le sens de la famille, celle dans laquelle j'ai grandi et toutes les rencontres fraternelles qui composent mon cercle élargi. Mais j'aimerais l'aborder de plusieurs manières, en éveillant tous les sens à travers la danse, le théâtre, la musique et les vidéos. Le format de l'émission fait écho à qui je suis : « JE SUIS DZIRACHKOD » : je suis débrouillard, en créole. Ecrire ce tête-à-tête est l'aboutissement d'un rêve, et j'aimerais vous raconter à travers mon histoire quelque chose de plus universel qu'il n'y paraît.

Une version scénique du poème épique de João Cabral de Mello Neto, qui parle des difficultés de la sécheresse dans le nord-est brésilien, dans un scénario qui sera transporté - dans une perspective de créolisation scénique - vers le scénario de l'île de Santo Antão , dans la période d'intense sécheresse et de famines qui ont dévasté l'archipel capverdien au XXe siècle. Ce spectacle a une identité absolument expérimentale, réunissant musique, théâtre, poésie et formes animées d'une manière inédite dans les arts de la scène capverdiens, dans une énième mise en scène inventive de João Branco.

UNA est une recherche performative sur le VIH, basée sur des questions biographiques, biomédicales et sociopolitiques. À partir d'une dramaturgie basée sur les métaphores et les états corporels, l'idée de kintsugi - une philosophie japonaise qui valorise les défauts et les fissures - est abordée à travers l'expérience d'un corps qui danse à la vie, révélant d'autres significations derrière le temps. Il explore les processus de transformation du corps et de l'identité entraînés par la vie avec ce virus, en réfléchissant à la façon dont ces processus peuvent métaphoriquement éclairer les chemins pour le moment actuel. UNA parle de changer de peau, parle d'une nouvelle condition de vie. Une performance brute, qui aborde des enjeux sociaux tels que la discrimination, l'oppression, le paradoxe et la résilience des corps en dialogue avec ces enjeux.